18 | | ||Pour un mouvement sur le paraboloïde d'équilibre, la force centrifuge disparait (compensée par la réaction du plan), donc seule persiste la force de Coriolis. On a reproduit ici un paraboloïde en matière plastique qui s'identifie à la surface d'équilibre pour une vitesse de rotation particulière, 42 tours/min. En faisant rouler des billes sur le paraboloïde, on observe leur mouvement circulaire sous l’effet de la seule force de Coriolis. La fréquence théorique de cette rotation, dite "fréquence inertielle" est le double de la fréquence de rotation du référentiel. Dans un repère fixe, la bille suit une trajectoire elliptique. Dans le repère en rotation on observe l'écart de cette trajectoire par rapport au cercle moyen. La fréquence inertielle double correspond aux deux maxima de l'ellipse atteints au cours d'une période.||[[Image(paraboloide.jpg)]]|| |
| 18 | Pour un mouvement sur le paraboloïde d'équilibre, la force centrifuge disparait (compensée par la réaction du plan), donc seule persiste la force de Coriolis. On a reproduit ici un paraboloïde en matière plastique qui s'identifie à la surface d'équilibre pour une vitesse de rotation particulière, 42 tours/min. En faisant rouler des billes sur le paraboloïde, on observe leur mouvement circulaire sous l’effet de la seule force de Coriolis. La fréquence théorique de cette rotation, dite "fréquence inertielle" est le double de la fréquence de rotation du référentiel. Dans un repère fixe, la bille suit une trajectoire elliptique. Dans le repère en rotation on observe l'écart de cette trajectoire par rapport au cercle moyen. La fréquence inertielle double correspond aux deux maxima de l'ellipse atteints au cours d'une période. |
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